SECTION SE-Unsa de la HAUTE LOIRE - MAISON DES SYNDICATS - 4 RUE DE LA PASSERELLE - 43000 LE PUY EN VELAY
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CHSCTD spécial reprise
Article publié le samedi 9 mai 2020.
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C’est un CHSCTD bien particulier qui s’est tenu ce jeudi 07 mai.

Alors mĂȘme que l’épidĂ©mie n’est ni stoppĂ©e ni rĂ©ellement maĂźtrisĂ©e, la perspective du dĂ©confinement soulĂšve Ă©normĂ©ment de questions et d’inquiĂ©tudes tant au niveau de l’organisation professionnelle que personnelle. Le CHSCTD aurait dĂ» pouvoir rĂ©pondre Ă  ces interrogations, aux inquiĂ©tudes lĂ©gitimes des personnels mais beaucoup vont rester en suspens.

Vous avez été nombreux à nous contacter.

En introduction, Mme la DASEN a prĂ©cisĂ© que des masques aux normes venaient d’ĂȘtre livrĂ©s dans les Ă©coles, c’est un premier approvisionnement, d’autres suivront. Les personnels disposeront de 2 masques par jour. Des masques pour enfants ont normalement Ă©tĂ© distribuĂ©s ce jeudi. C’est l’employeur qui pourvoit Ă  cela.

Les consommables (savon, gel hydroalcoolique
) sont fournis par les collectivités.

Pas de nouvelle des tests qui pourtant devaient ĂȘtre un prĂ©alable Ă  la reprise.

- RĂ©ouverture des Ă©tablissements et conditions sanitaires :

Après le discours du Premier ministre devant l’Assemblée nationale, nos organisations syndicales ne peuvent que constater, à ce jour, que la date d’ouverture de l’École et l’organisation de la reprise sont précipitées.

Les annonces du Premier ministre d’une reprise avec un cadre insuffisamment préparé mettent les personnels en difficulté, en insécurité et font peser sur les acteurs locaux une responsabilité qui n’est pas la leur.

Les réalités matérielles existantes (sanitaires, superficie des salles de classe et des locaux...), le nombre d’adultes effectivement présents (enseignants, AESH et ATSEM) et les équipements de protection réellement disponibles font que les conditions sanitaires d’une réouverture des écoles n’ont pas été apportées par le gouvernement pour une reprise à partir du 11 mai.

Notre priorité est d’abord la santé des élèves et des personnels et l’ouverture des écoles doit être conditionnée à des garanties indispensables.

A tous les niveaux des  CHSCT, l’UNSA EDUCATION a demandĂ© Ă  l’administration de renoncer à imposer cette rĂ©ouverture, elles s’opposeront à toutes tentatives de pression sur les personnels.

Un avis intersyndical a Ă©tĂ© votĂ© Ă  l’unanimitĂ© :

Les reprĂ©sentants des personnels au CHSCT dĂ©partemental considĂšrent que les mesures de prĂ©vention des risques permettant une reprise de l’activitĂ© en prĂ©sentiel ne seront pas effectives Ă  la date du 11 mai. Par consĂ©quent, ils demandent Ă  l'administration de reporter l’ouverture des Ă©coles, Ă©tablissements scolaires et services, tant que les conditions sanitaires ne seront pas garanties (tests, masques conformes, gel, gants, prise de tempĂ©rature Ă  l’arrivĂ©e Ă  l’école
)

En CHSCT A, le recteur a affirmĂ© que si un des Ă©lĂ©ments du protocole n’est pas applicable, l’école ne rouvrirait pas. La DASEN a confirmĂ© qu’elle respecterait le cadrage national.

En cas de non respect du protocole, il faut immédiatement signaler tous les dysfonctionnements.

Vous pouvez demander le report de l’accueil des Ă©lĂšves Ă  une date ultĂ©rieure ( le 14, 18, 20mai
). La DASEN s’est engagĂ©e Ă  le respecter.

Vous pouvez faire une alerte puis demander votre droit de retrait si vous jugez que la situation le justifie (voir notre fiche en PJ).

- Respect du protocole
Un protocole qui arrive au dernier moment, des consignes inapplicables
 toutes cette prĂ©paration est retombĂ©e sur les directeurs,  enseignants â€Š

Un avis intersyndical a Ă©tĂ© votĂ© Ă  l’unanimitĂ© :

Que le dispositif de mise en place locale du protocole soit ou non dĂ©battu en conseil d’école ou au Conseil d’Administration, il doit ĂȘtre validĂ© par les autoritĂ©s rectorales avant toute mise en pratique.

De plus, le CHSCT-D demande que le plan d’adaptation de chaque Ă©tablissement soit garanti et validĂ© par une vĂ©ritable expertise, qui ne peut ĂȘtre que celle des autoritĂ©s sanitaires habilitĂ©es, comme le font habituellement les commissions de sĂ©curitĂ© avant l’ouverture de locaux au public.

La dĂ©cision de rĂ©ouverture d’une Ă©cole n’est pas de la responsabilitĂ© des directeurs/directrices. Un certificat officiel d’autorisation d’ouverture, prenant en compte le plan local de respect des mesures de sĂ©curitĂ© doit ĂȘtre fourni par la DSDEN.

- RĂ©ouverture et manque de personnel
Certains  collĂšgues risquent de se retrouver dans une situation dĂ©licate si les autres collĂšgues de l’école ne peuvent revenir en prĂ©sentiel et assurent le tĂ©lĂ©travail.

L’UNSA EDUCATION ne peut accepter qu’un collĂšgue se retrouve seul pour tout gĂ©rer pendant ce dĂ©confinement. Nous avons demandĂ© Ă  ce que ces Ă©coles soient fermĂ©es.

L’UNSA EDUCATION a dĂ©posĂ© et votĂ© un avis (FSU : abstention, FO : ne participe pas au vote)

Dans certaines Ă©coles, tous les personnels ne pourront  pas reprendre le travail. Ils pourront se retrouver seul ou seulement en binĂŽme. Il leur sera impossible d’accueillir la totalitĂ© des Ă©lĂšves volontaires et prioritaires. Sachant que parfois, le directeur ou la directrice ne sera plus prĂ©sent.e. A ce jour, aucune rĂ©ponse n’a Ă©tĂ© apportĂ©e par l’administration sur la possibilitĂ© d’avoir des remplaçants.

L’UNSA EDUCATION  demande que l’administration laisse les Ă©coles  concernĂ©es fermĂ©es.

 - Cas des directeurs
Les directeurs pendant toute cette pĂ©riode et celle qui vient, n’ont Ă©tĂ© que trop sollicitĂ©s : STOP !

L’UNSA EDUCATION a proposĂ© et votĂ© un avis (FSU : absention ; FO : contre)

Une fois encore, ce sont les directeurs et directrices qui sont en premiĂšre ligne et donc dans l’obligation de mettre en Ɠuvre un protocole extrĂȘmement exigeant et complexe. L’obligation de fonctionner dans l’urgence avec un pilotage chaotique et un Ă©tayage quasi inexistant leur rend la tĂąche impossible.
La circulaire ministĂ©rielle prĂ©voit que les directeurs puissent reprendre leur enseignement pĂ©dagogique qu’aprĂšs la deuxiĂšme ou la troisiĂšme semaine suivant la reprise des cours

L’UNSA EDUCATION  demande que tous les directeurs, au-delĂ  de ce dĂ©lai de deux semaines, puissent bĂ©nĂ©ficier de plus de temps de dĂ©charge, quelle que soit la taille de leur Ă©cole, et surtout que ce temps soit rĂ©parti sur toute la pĂ©riode d’accueil au moins jusqu’à la nouvelle Ă©chĂ©ance du 02 juin.
Nous insistons sur le fait que de rĂ©els risques psychosociaux sont Ă  prendre en considĂ©ration chez les directeurs et directrices qui ne peuvent mener de front l’enseignement et la direction d’école dans ces conditions.

L’administration ne sait pas si elle aura les moyens de proposer le soutien de remplaçants.

 - Masques
Selon le protocole sanitaire publiĂ© par le ministĂšre, « Le port du masque « grand public » est obligatoire dans toutes les situations oĂč le respect des rĂšgles de distanciation risque de ne pas ĂȘtre respectĂ©. » Cette formulation est en retrait par rapport au projet qui a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© en groupe de travail le 30 avril.

Nous insistons sur la  nĂ©cessitĂ© de porter un masque. Ils devront ĂȘtre fournis en nombre suffisant et correspondre  aux normes.

- La jauge des groupes accueillis est fixĂ©e Ă  10 Ă©lĂšves en maternelle, et 15 en Ă©lĂ©mentaire ou en collĂšge :  c’est  un maximum. Il n’y a pas d’obligation de l’atteindre. La prioritĂ© doit ĂȘtre donnĂ©e aux possibilitĂ©s d’accueil (surface soit 4 m2 par Ă©lĂšve
.).

- Accompagnement psychologique
Le protocole ministĂ©riel met en avant l’importance de la formation et de l’accompagnement pour ce retour en classe par des personnels infirmiers, psychologues
L’UNSA EDUCATION mesure l’importance de ce soutien mais alerte sur  le manque crucial de postes dans ce secteur.

Un avis intersyndical a Ă©tĂ© proposĂ© et votĂ© Ă  l’unanimitĂ© :

Le CHSCTD rĂ©itĂšre sa demande de crĂ©ation de postes et le recrutement de mĂ©decins scolaires, de mĂ©decins de prĂ©vention, de psychologues de l’éducation nationale, de psychologues des personnels, d’infirmiĂšres, d’assistantes sociales.

- Retour des Ă©lĂšves
Un autre constat s’impose : beaucoup de parents ne sont pas dupes et ont peur de remettre leurs enfants Ă  l’école. Ceux qui le feront sont souvent dans l’obligation de le faire. Ils ont conscience aussi tout comme nous, que ce sera une garderie extrĂȘmement contraignante et inadaptĂ©e aux apprentissages.  Quant « au public fragile Â», effectivement leur permettre de sortir de leur milieu familial est important. Mais n’allons surtout pas croire que nous allons pouvoir proposer des conditions d’accueil sĂ©curisantes, et favoriser une socialisation Ă©panouissante.

- La responsabilité pénale
Beaucoup de collĂšgues, entre autres les directeurs, nous ont fait part de leurs  inquiĂ©tudes face Ă  la responsabilitĂ© pĂ©nale qui pĂšse trop lourd.  En cette pĂ©riode de crise sanitaire, les  sentiments  d’injustice, d’insĂ©curitĂ© et d’incomprĂ©hension ne peuvent que s’accroitre et devenir insupportables.

L’UNSA EDUCATION insiste sur le fait que le risque zĂ©ro n’existe pas. Tous les personnels doivent ĂȘtre protĂ©gĂ©s par leur employeur.

Un avis intersyndical a Ă©tĂ© votĂ© Ă  l’unanimitĂ© :

Si les conditions sanitaires ne sont pas respectĂ©es dans une Ă©cole ou un Ă©tablissement, pas de rĂ©ouverture. C’est le principe, rĂ©affirmĂ© par le ministre du MEN le 3 mai dans une interview au Figaro, qui doit prĂ©valoir.
La responsabilitĂ© pĂ©nale des personnels, Ă  tous les niveaux de responsabilitĂ©, peut ĂȘtre engagĂ©e. Ce principe doit prioritairement ĂȘtre rĂ©affirmĂ© par la DSDEN Ă  l’ensemble des personnels.
Nous refusons d’ĂȘtre responsables

La DASEN  nous a affirmĂ© qu’en pĂ©riode de crise sanitaire l’état se substituerait et la responsabilitĂ© de l’agent ne pourrait ĂȘtre engagĂ©e que s’il y avait intentionnalitĂ© de sa part.

- Travail en prĂ©sentiel, tĂ©lĂ©travail, garde d’enfants... : des clarifications s’imposent !
Les personnels Ă  risque peuvent tout Ă  fait demander Ă  tĂ©lĂ©travailler, en faisant rĂ©diger par leur mĂ©decin traitant ou un mĂ©decin spĂ©cialiste un certificat de Â« mise Ă  distance Â» qu’elles transmettront Ă  leur hiĂ©rarchie. Si besoin est, elles peuvent prendre contact avec le mĂ©decin de prĂ©vention Mme Martin Gozard.
(Fiche personnes vulnérables en PJ)

Si vous n'avez pas de moyen de garde pour votre enfant, si vous ne souhaitez pas mettre votre enfant à l'école en tant que parent, vous pouvez bénéficier d'une autorisation spéciale d'absence (ASA) jusqu'au 1er juin. Il faut en faire la demande auprÚs de votre hiérarchie.

La DASEN a assuré que toutes les situations particuliÚres seraient étudiées au cas par cas (personnes fragiles, contraintes horaires professionnelles/personnelles
).

Un enseignant qui assure son travail en prĂ©sentiel n’a pas Ă  assurer de tĂ©lĂ©travail. La coordination de l’un et de l’autre se fait en concertation d’équipe et sera adaptĂ©e aux diverses situations.

Deux avis intersyndicaux ont Ă©tĂ© proposĂ©s et votĂ©s Ă  l’unanimitĂ© :

Afin de protĂ©ger les droits des personnels en matiĂšre de santĂ© au travail, les reprĂ©sentants des personnels au CHSCT D demandent Ă  l’administration de mettre en Ɠuvre un cadrage dĂ©partemental avec les dispositions suivantes :

  • clarification de la situation administrative des personnels « Ă  risques », notamment en leur accordant systĂ©matiquement des ASA avec maintien intĂ©gral du salaire ou travail Ă  distance. (La liste des pathologies fournie par la Haute autoritĂ© de la SantĂ© doit, a minima, s’imposer Ă  tous sans qu’aucune interprĂ©tation locale ne vienne la rĂ©duire)
  • pour les agents qui vivent avec des personnes vulnĂ©rables, y compris femmes enceintes, jeunes enfants, le bĂ©nĂ©fice d’ASA ou de travail Ă  distance ;
  • pour les personnels de l’Éducation Nationale avec enfants qui ne seraient pas accueillis dans leur Ă©cole, le bĂ©nĂ©fice d’ASA garde d’enfants ;
  • pour les personnels de l’Éducation Nationale qui ne sont pas volontaires pour mettre leurs enfants Ă  l’école, le bĂ©nĂ©fice d’ASA garde d’enfants ;
  • pour les personnels de l’Éducation Nationale qui ne sont pas volontaires pour exercer en prĂ©sentiel ,la possibilitĂ© de continuer Ă  travailler Ă  distance, sans aucune obligation de prĂ©sentiel.
  • pour les personnels ayant exercĂ© en prĂ©sentiel pendant le confinement, la rĂ©daction par le responsable hiĂ©rarchique d’une fiche d’exposition au Covid19 annexĂ©e au dossier mĂ©dical et le suivi mĂ©dical rĂ©glementaire par le mĂ©decin de prĂ©vention.
  • pour les personnels ayant contractĂ© la maladie suite Ă  leur exercice pendant le confinement ou aprĂšs, la reconnaissance. L’imputabilitĂ© liĂ©e au service doit ĂȘtre reconnue.

            Le bĂ©nĂ©fice de toutes ces ASA doit se faire Ă  plein traitement.

Les reprĂ©sentants des personnels du CHSCT dĂ©partemental considĂšrent que la poursuite simultanĂ©e d’une activitĂ© d’enseignement en prĂ©sentiel sur l’ensemble du temps scolaire et de l’organisation de l’enseignement Ă  distance est impossible et ne peut ĂȘtre exigĂ©e. Aussi ils demandent Ă  l’administration de confirmer que ce ne sera pas le cas.

- AESH :
Pour l'UNSA Education, la premiÚre rÚgle, à savoir le principe de distanciation sociale, est trÚs difficile à respecter dans la majorité des cas dans le cadre de l'accompagnement d'un élÚve en situation de handicap. DÚs lors, le protocole n'est pas réalisable.
Les AESH peuvent donc se rendre dans leur Ă©cole lundi pour indiquer Ă  l'enseignant les difficultĂ©s que pose l'Ă©lĂšve au niveau du protocole. Peut-il respecter la distanciation ? Peut-il apprendre les gestes barriĂšre ?
Alertez votre hiĂ©rarchie de toute situation de blocage pour que la famille soit avertie et qu'un report puisse ĂȘtre dĂ©cidĂ©.
A l'heure actuelle, aucun protocole spécifique n'est prévu pour les AESH. Dans ces conditions elles ne peuvent pas prendre sous leur responsabilité des accompagnements sans consigne claire de leur employeur.
On ne peut pas leur demander d’assurer des tñches qui ne seraient pas dans leurs missions.

Un avis intersyndical a Ă©tĂ© proposĂ© et votĂ© Ă  l’unanimitĂ© :

Concernant les AESH dont les missions sont clairement dĂ©finies par les circulaires du 3 mai 2017 et 5 juin 2019, le chsct d exige qu’ils puissent bĂ©nĂ©ficier des mĂȘmes dispositions que les autres personnels et le respect de ces missions. DĂšs lors, aucune obligation de se rendre dans les Ă©tablissements ne sauraient leur ĂȘtre faite en l’absence des Ă©lĂšves dont ils ont la charge.

- Et si un cas avĂ©rĂ© de COVID est signalĂ© parmi les enfants accueillis ?

Il convient que les parents surveillent la tempĂ©rature et l’état de santĂ© de leur enfant et le signalent Ă  l’établissement. Si les enseignants constatent des symptĂŽmes, il convient de le signaler au plus vite Ă  la famille. Il y aura Ă©viction de cet enfant.

L’UNSA EDUCATION a proposĂ© un avis : (UNSA / FSU : pour ; FO ne participe pas au vote)

DĂšs le premier cas positif dans un Ă©tablissement, le CHSCTD demande Ă  ce que le principe de prĂ©caution puisse s’appliquer de fait et donc que l’établissement soit fermĂ©.

L’administration n’a pas donnĂ© de rĂ©ponse Ă  ce jour.

- Et les administratifs ?

La grande majoritĂ© du personnel administratif a pu assurer son service en tĂ©lĂ©travail et a dĂ» s’adapter aux contraintes de la situation souvent liĂ©es Ă  une surcharge de travail. Mais la fin de l’annĂ©e approche et les Ă©chĂ©ances qui vont avec.

L’UNSA EDUCATION a proposĂ© et votĂ© un avis (FSU / FO : ne participent pas au vote)

L’UNSA EDUCATION demande la bienveillance et la prise en compte nĂ©cessaire du rattrapage des retards accumulĂ©s ou liĂ©s Ă  la multiplication des tĂąches pendant la pĂ©riode de confinement par les personnels autres qu’enseignants, notamment les personnels administratifs, non seulement en Ă©tablissement, mais Ă©galement dans les services acadĂ©miques.

 Aucune pression ne peut ĂȘtre acceptĂ©e.

- Questions diverses :

- Dans toutes les écoles, les entrées et sorties des élÚves ont été réaménagées. Attention, le plan VIGIPIRATE reste en vigueur !

- Si un enfant ne respecte pas les rĂšgles du protocole, il convient d’en informer sa hiĂ©rarchie : rien ne pourra excuser la mise en danger des autres.


   DĂ©claration intersyndica   
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   Droit d’alerte et d   
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   Personnels vulnĂ©rables   
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