Les intervenant·es de la réunion ont fait le point sur ce qui se passait dans les différents pays en terme d’éducation au changement climatique ou de prise en compte du domaine scolaire dans la transition écologique. Au Canada par exemple, l’enseignement est considéré comme une activité à carbone faible.

Au sommet sur la transformation de l’éducation à New York en septembre 2022, un tiers des pays ont pris des engagements pour la transition écologique de leur École avec un rôle moteur joué par le Japon. Les engagements pris sur le « verdissement Â» de l’éducation passent par un verdissement des établissements, un verdissement des programmes et une formation des cadres et des enseignants pour intégrer une approche globale de la transition.

Du sommet mondial pour l’éducation à la COP27 en Egypte

La discussion a aussi abordé la possibilité, face aux risques climatiques, d’enseigner la résilience d’un côté et d’un autre côté de faire des établissements des lieux refuge. Sur l’île Maurice par exemple, des efforts sont faits pour le numérique et la connectivité pour assurer la continuité éducative en cas de risques, y compris avec une formation de pointe pour les enseignants pour des modes hybrides.

Cette réunion servait aussi à préparer la prochaine COP éè qui se déroule en Egypte en novembre où l’internationale de l’éducation sera présente et propose des outils de plaidoyer :

Un travail de recherche de l’IE « les enseignants dans une planète en surchauffe »

Les revendications de l’IE dans leur kit plaidoyer, organisé autour des actions d’atténuation, d’une éducation au changement climatique, d’une transition juste pour les personnels, les mesures d’adaptation ou encore le financement des préjudices financiers, à retrouver ici