Le SE UNSA reçu au ministère en bilatérale

Un constat

• diminution de l'attractivité du métier qui se traduit par un manque de candidats 1er et 2nd degré dans certaines disciplines,
• La formation initiale en master ne permet pas de se projeter suffisamment tôt dans la réalité du métier,
• Un ascenseur social en panne.

13 juin, le SE-UNSA est reçu au ministère. Tout est à écrire mais des pistes sont évoquées.

Quand le ministère parle de prérecrutement, au SE UNSA nous répondons préprofessionalisation.

Des pistes de travail

• Qui ? Des étudiants en L2, L3 et Meef 1 sur des académies déficitaires,
• Quoi ? Un contrat de droit public avec conservation des bourses,
• Quand ? Dès la rentrée 2019,
• Combien ? 10 000,
• Comment ? Une quotité horaire regroupant formation universitaire, observation puis intervention sur des missions pédagogiques.

Nous sommes favorables à la préprofessionnalisation, non seulement comme levier pour augmenter les viviers de candidats issus de toutes origines sociales, mais également pour améliorer la formation.  

En ce qui concerne ce dispositif, tel qu’il nous a été présenté, nous sommes en accord avec les grandes lignes. Néanmoins, certaines missions décrites nécessitent d’être reformulées et nous faisons d’ores et déjà nos propositions de reformulation. Nous suivrons attentivement les évolutions du document de travail.