SECTION SE-Unsa de la HAUTE GARONNE - 19 BD SILVIO TRENTIN - 31200 TOULOUSE
Tél. 05 61 14 72 72 - 31@se-unsa.org - Facebook
Rassemblement
Mercredi 7 février
16h30 Préfecture (Toulouse)
Côté entrée du public, rue Sainte-Anne
Les familles sans papiers, exilées, réfugiées, ainsi que les
collectifs d’établissements scolaires et les soutiens
appellent Ă un rassemblement pour porter collectivement
des pétitions et demander collectivement des papiers pour toutes et tous...
lire la suite sur le site de RESF 31
DĂ©cembre 23
Familles Ă la rue...
Le conseil départemental peut prendre ses responsabilités
Nous avons écrit et demandé une audience au président du conseil départemental :
" à M. le Président du Conseil Départemental de Hte-Garonne,
Mmes et Mrs. les Ă©lus...
Depuis le mois de Mai dernier, la Préfecture de Haute-Garonne organise la remise à la rue de familles entières, provoquant ainsi la rupture du principe de continuité dans la prise en charge de l’hébergement de 658 personnes, dont 311 enfants…
Nous proposons au département de Haute-Garonne de prendre... en charge l’hébergement de 102 familles avec enfants... "
Comme le Puy-de-Dôme qui a ensuite intenté un recours contre l’État afin d’engager sa responsabilité suite à cette carence...
lire le courrier complet
Ajout 14 novembre
Le communiqué de presse
" Depuis
la rentrée, des syndicats de l’éducation nationale et une association de
parents d’élèves, des ONG et des acteurs de la solidarité ont interpellé la
préfecture de Haute-Garonne et dénoncé son inaction face à la situation
d’extrême précarité dans laquelle se trouvent de nombreux enfants et leurs
familles dans tout le département.
Alors qu’elles se retrouvent à la rue et
sans solution d’hébergement, les réponses de la préfecture le 24 octobre
dernier sont tout simplement inacceptables.
Le
président Macron avait promis dans sa campagne de 2017 que plus personne ne
devait dormir dehors !
Et pourtant, on peut évaluer aujourd’hui à plus de
300 le nombre d’enfants qui dorment dehors dans le département !
Cette
situation les prive de tous leurs droits les plus fondamentaux (le droit Ă la
santé, le droit à l’alimentation, le droit à l’éducation…).
Alors
que l’hiver est là , l’État ne propose aucune solution pour ces familles. C’est
illégal !
Comme
le rappelle la Convention Internationale des Droits de l’Enfant rédigée par
l’UNICEF (dont la France est signataire, comme 197 autres pays), l’État se doit
de garantir Ă chaque enfant « un niveau de vie suffisant pour permettre son
dĂ©veloppement physique, mental, spirituel, moral et social » ce qui l’oblige Ă
lui procurer « en cas de besoin, une assistance matĂ©rielle et des programmes
d’appui, notamment en ce qui concerne l’alimentation, le vêtement et le
logement ».
C’est
pourquoi, nous voulons faire du 20 novembre 2023, journée internationale des
droits de l’enfant, une journée de mobilisation forte sur la situation de tous
les enfants Ă la rue et leurs familles !
Les
organisations syndicales FSU 31, CGT éduc’action 31, SAF
toulouse, Solidaires 31, SUD Ă©ducation 31-65 et UNSA-Education 31 ainsi que les
associations ADE Toulouse, Amnesty international 31, DAL 31, FCPE 31, La Cimade
Sud-ouest, LDH Toulouse, MRAP, RESF 31, TEC,et Utopia 56
appellent Ă se
mobiliser dès le matin par des petits déjeuners solidaires devant chaque
établissement scolaire où des enfants sont privés de leurs droits fondamentaux
(liste des Ă©tablissements Ă venir).
Le
soir, toutes et tous sont invités à participer à un village solidaire à partir
de 18h au métro Jean Jaurès pour dénoncer cette situation indigne dans l’un des
pays les plus riches du monde ! "
*
Et le tract commun
Est-ce Noël pour tous les enfants ? NON !
25 octobre
Ce mardi 24 octobre, l’intersyndicale éducation 31 a rencontré
la préfecture de la Haute-Garonne afin d’alerter sur la situation des
enfants à la rue dans le département.
Selon les syndicats, plusieurs
centaines de familles se trouvent actuellement sans solution de
logement.
- Le compte-rendu du " Journal Toulousain" du 25 octobre
225 enfants Ă la rue en Haute-Garonne...
- Puis des associations ont interpelé la préfecture. Le compte rendu de "France Bleu" du 6 novembre
18 Octobre
COMMUNIQUE DE PRESSE
L’Intersyndicale éducation 31 - FSU, UNSA éducation, FNEC FP FO, SGEN CFDT, CGT Educ’action, Sud Education et l’association de représentant.es des parents d’élèves FCPE a interpelé la préfecture face à la situation d’extrême précarité dans laquelle se trouvent de nombreuses familles qui se retrouvent à la rue sans solution d’hébergement dans tout le département.
La communauté éducative dénonce ces situations inacceptables qui placent des familles dans des conditions de vie indignes, ne garantissant pas aux enfants leur droit fondamental à l’Education.
Comme le rappelle la Convention des Droits de l’enfant, l’Etat se doit de garantir Ă chaque enfant « un niveau de vie suffisant pour permettre son dĂ©veloppement physique, mental, spirituel, moral et social » ce qui l’oblige Ă offrir « en cas de besoin, une assistance matĂ©rielle et des programmes d’appui, notamment en ce qui concerne l’alimentation, le vĂŞtement et le logement ».
Il n’est pas acceptable que des élèves dorment à la rue.
L’Intersyndicale éducation 31 avec la FCPE 31, sera reçue en audience le mardi 24 octobre à 14h30 par la préfecture et appelle à un rassemblement à 14h, place Saint-Etienne.
ARTICLE du 29 septembre
L’intersyndicale UNSA-éducation, FSU, FNEC FP FO, SGEN CFDT, CGT Educ’action, Sud Education et les parents d’élèves representés par la FCPE ont écrit à la préfecture pour dénoncer l’extrême précarité dans lesquelles se retrouve nos élèves. Cet été 171 enfants ont été remis à la rue avec leur famille sans solution alternative. Comme le rappelle la Convention Internationale de l’enfant, un enfant doit bénéficier de conditions de vie suffisantes pour son éducation obligeant l’Etat à offrir assistance matérielle pour y répondre.
L’intersyndicale et les parents d’élève seront reçus prochainement.