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Elèves sans logement - Rassemblement le 7 février à Toulouse
Article publié le lundi 29 janvier 2024.
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Rassemblement
Mercredi 7 février

16h30 Préfecture (Toulouse)
Côté entrée du public, rue Sainte-Anne


Les familles sans papiers, exilées, réfugiées, ainsi que les
collectifs d’établissements scolaires et les soutiens
appellent Ă  un rassemblement pour porter collectivement
des pétitions et demander collectivement des papiers pour toutes et tous...

lire la suite sur le site de RESF 31




DĂ©cembre 23

Familles Ă  la rue... 
Le conseil départemental peut
prendre ses responsabilités

Nous avons Ă©crit et demandĂ© une audience au prĂ©sident du conseil dĂ©partemental :

" Ă  M. le PrĂ©sident du Conseil DĂ©partemental de Hte-Garonne,
Mmes et Mrs. les Ă©lus...

Depuis le mois de Mai dernier, la Préfecture de Haute-Garonne organise la remise à la rue de familles entières, provoquant ainsi la rupture du principe de continuité dans la prise en charge de l’hébergement de 658 personnes, dont 311 enfants…
Nous proposons au département de Haute-Garonne de prendre... en charge l’hébergement de 102 familles avec enfants... "

Comme le Puy-de-Dôme qui a ensuite intenté un recours contre l’État afin d’engager sa responsabilité suite à cette carence...

lire le courrier complet



Ajout 14 novembre

Le communiqué de presse

" Depuis la rentrée, des syndicats de l’éducation nationale et une association de parents d’élèves, des ONG et des acteurs de la solidarité ont interpellé la préfecture de Haute-Garonne et dénoncé son inaction face à la situation d’extrême précarité dans laquelle se trouvent de nombreux enfants et leurs familles dans tout le département.
Alors qu’elles se retrouvent à la rue et sans solution d’hébergement, les réponses de la préfecture le 24 octobre dernier sont tout simplement inacceptables.

Le prĂ©sident Macron avait promis dans sa campagne de 2017 que plus personne ne devait dormir dehors !
Et pourtant, on peut Ă©valuer aujourd’hui Ă  plus de 300 le nombre d’enfants qui dorment dehors dans le dĂ©partement !
Cette situation les prive de tous leurs droits les plus fondamentaux (le droit à la santé, le droit à l’alimentation, le droit à l’éducation…).

Alors que l’hiver est lĂ , l’État ne propose aucune solution pour ces familles. C’est illĂ©gal !

Comme le rappelle la Convention Internationale des Droits de l’Enfant rĂ©digĂ©e par l’UNICEF (dont la France est signataire, comme 197 autres pays), l’État se doit de garantir Ă  chaque enfant « un niveau de vie suffisant pour permettre son dĂ©veloppement physique, mental, spirituel, moral et social » ce qui l’oblige Ă  lui procurer « en cas de besoin, une assistance matĂ©rielle et des programmes d’appui, notamment en ce qui concerne l’alimentation, le vĂŞtement et le logement ».

C’est pourquoi, nous voulons faire du 20 novembre 2023, journĂ©e internationale des droits de l’enfant, une journĂ©e de mobilisation forte sur la situation de tous les enfants Ă  la rue et leurs familles !

Les organisations syndicales FSU 31, CGT éduc’action 31, SAF toulouse, Solidaires 31, SUD éducation 31-65 et UNSA-Education 31 ainsi que les associations ADE Toulouse, Amnesty international 31, DAL 31, FCPE 31, La Cimade Sud-ouest, LDH Toulouse, MRAP, RESF 31, TEC,et Utopia 56
appellent à se mobiliser dès le matin par des petits déjeuners solidaires devant chaque établissement scolaire où des enfants sont privés de leurs droits fondamentaux (liste des établissements à venir).

Le soir, toutes et tous sont invitĂ©s Ă  participer Ă  un village solidaire Ă  partir de 18h au mĂ©tro Jean Jaurès pour dĂ©noncer cette situation indigne dans l’un des pays les plus riches du monde ! "

*
Et le tract commun

Est-ce NoĂ«l pour tous les enfants ? NON !



25 octobre

Ce mardi 24 octobre, l’intersyndicale éducation 31 a rencontré la préfecture de la Haute-Garonne afin d’alerter sur la situation des enfants à la rue dans le département.
Selon les syndicats, plusieurs centaines de familles se trouvent actuellement sans solution de logement.

- Le compte-rendu du " Journal Toulousain" du 25 octobre

225 enfants Ă  la rue en Haute-Garonne...

- Puis des associations ont interpelé la préfecture. Le compte rendu de "France Bleu" du 6 novembre

" 311 enfants mis Ă  la rue "



18 Octobre

COMMUNIQUE DE PRESSE

L’Intersyndicale éducation 31 - FSU, UNSA éducation, FNEC FP FO, SGEN CFDT, CGT Educ’action, Sud Education et l’association de représentant.es des parents d’élèves FCPE a interpelé la préfecture face à la situation d’extrême précarité dans laquelle se trouvent de nombreuses familles qui se retrouvent à la rue sans solution d’hébergement dans tout le département.

La communauté éducative dénonce ces situations inacceptables qui placent des familles dans des conditions de vie indignes, ne garantissant pas aux enfants leur droit fondamental à l’Education.

Comme le rappelle la Convention des Droits de l’enfant, l’Etat se doit de garantir Ă  chaque enfant « un niveau de vie suffisant pour permettre son dĂ©veloppement physique, mental, spirituel, moral et social » ce qui l’oblige Ă  offrir « en cas de besoin, une assistance matĂ©rielle et des programmes d’appui, notamment en ce qui concerne l’alimentation, le vĂŞtement et le logement ».

Il n’est pas acceptable que des élèves dorment à la rue.

L’Intersyndicale éducation 31 avec la FCPE 31, sera reçue en audience le mardi 24 octobre à 14h30 par la préfecture et appelle à un rassemblement à 14h, place Saint-Etienne.



ARTICLE du 29 septembre

L’intersyndicale UNSA-éducation, FSU, FNEC FP FO, SGEN CFDT, CGT Educ’action, Sud Education et les parents d’élèves representés par la FCPE ont écrit à la préfecture pour dénoncer l’extrême précarité dans lesquelles se retrouve nos élèves. Cet été 171 enfants ont été remis à la rue avec leur famille sans solution alternative. Comme le rappelle la Convention Internationale de l’enfant, un enfant doit bénéficier de conditions de vie suffisantes pour son éducation obligeant l’Etat à offrir assistance matérielle pour y répondre.

>notre courrier<


L’intersyndicale et les parents d’élève seront reçus prochainement.


   Lettre au CD - dĂ©c23   
(327.1 ko)
   tract commun 20 novembre   
(312.1 ko)
 
 
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