Compte-rendu CDEN 28 juin 2016

Ajustements de carte scolaire – rythmes

 

UNSA Education : Jérôme BOUSQUET – Natacha ETOURNEAU – Anne MARCHAND – François MARTY

IA : Madame ORLAY (IA-DASEN), Monsieur BREVET (Secrétaire général), Monsieur GRIFFOUL (IEN-Adjoint), Madame ABOLO (service moyens)

M. Zaccharon (vice-président du Conseil départemental), Conseillers départementaux, représentants des Maires, parents d'élèves, DDEN et associations complémentaires. 

Pour le Préfet : Monsieur le Secrétaire général

Réponse DASEN : Nous devons dire le réel : si nous n’avions pas eu la convention ruralité, nous aurions dû rendre des postes, une vingtaine. Nous allons devoir dépasser le stade du dialogue, pour que chacun fasse un pas et qu’on avance vraiment dans la réflexion.

Situations examinées :

DASEN :Nous connaissons tous les critères. Population fluctuante, porosité entre les territoires, élèves scolarisés ailleurs en 2015 / 2016, demande de protection de chaque territoire. Les TPS ne doivent pas être une barrière d’ajustement. La réalité du département, c’est une baisse démographique.

-      RPI 308 Allemans / Bertric Burée / St Paul Lizonne : 10 élèves hors secteur. 7 élèves sont inscrits actuellement ailleurs.

Unsa Education : 110  parmi lesquels seulement 4 TPS, ce qui donne 26,5 en cas de fermeture, avec une répartition pédagogique difficile.

-      RPI 418 Liorac sur Louyre / St Félix de Villadeix / St Georges de Montclar 82 + 4 TPS

Unsa Education : Un emploi en jeu, Projet de garderie, implication financière de la commune.

Intervention de Madame MARSAT, Conseillère départementale.

-      Périgueux Gour de l’Arche : 75  

Unsa Education : situations complexes au niveau familial, pas de mixité sociale.

-      Razac sur l’Isle maternelle : 82 pour 3 classes.

Unsa Education : moyenne très élevée sans ouverture.

-      RPI 310 Montagrier / Tocane : 192 pour 8 classes

Unsa Education : difficultés de répartitions sur les 3 sites.

IEN A : On fait attention car ils sont en train d’inscrire des élèves venant d’autres écoles.

-      RPI 513 Sourzac / St Léon sur l’Isle : remontée 109 à 112 car éventuels départs signalés par l’école

Unsa Education : Même avec 109, cela fait une moyenne de 27,25 ; une classe à 31 car pas d’autre répartition envisageable.

-      RPI 704 Prats de Carlux / Ste Nathalène : 80 pour 3 classes actuellement

IEN A : Les 3 élus ont été reçus lundi par Madame l’Inspectrice d’académie.

-      Boulazac Joliot Curie

Unsa Education : ULIS à prendre en compte également, effectifs qui augmentent, travail en partenariat avec l’ITEP.

-      Château l’Evêque 

-      Menesplet 

-      Prigonrieux Ã©lémentaire

Unsa Education : 183 élèves pour 7 classes, des logements vont être livrés, donc cette école est à surveiller dans les mois à venir.

-      St Astier Mounet Sully

Intervention de Madame MARSAT, Conseillère départementale

-      St Aulaye élémentaire

Unsa Education : c’est une situation prioritaire selon nous

Unsa Education : Nous intervenons sur les situations particulières de Périgueux Maurice Albe et de Thiviers concernant les décharges de direction. Nous demandons à ce que Maurice Albe puisse conserver une ½ décharge de direction, et Thiviers 1/3.

Situations à la baisse :

Unsa Education : Nous sommes à une semaine de la sortie, l’organisation pour la rentrée est prévue, une école va recevoir des stagiaires, de plus chaque année, des élèves sont inscrits chaque année pendant l’été.

Marcillac St Quentin : 83 élèves pour 3 classes, projet d’extension

Unsa Education: Nous insistons sur le souhait de maintenir les décharges de Périgueux Maurice Albe, de Thiviers et de St Astier. Nous pointons également le problème des contrats de moins de 6 mois d’EVS, qui ne seront pas renouvelés.

SG : En réponse sur les contrats aidés, les personnes concernées peuvent solliciter un rendez-vous auprès de moi, je les recevrai sans problème.

- Eymet maternelle : 52 élèves pour 3 classes

- RPC Maurens : 93 pour 5 classes

- Périgueux Le Lys maternelle : prévision à 58 pour 3 classes

Unsa Education : Si vous fermez, ce sera très compliqué, au vu de l’attractivité de périgueux d’un point de vue professionnel pour les familles.

-      St Antoine de Breuilh : 106 élèves pour 6 classes

Propositions DASEN :

4 situations à la baisse : Nous n’y toucherons pas. Je rappelle néanmoins que les postes suivent les élèves.

St Aulaye : OUVERTURE

St Astier : Parents rencontrés cette semaine, diagnostic posé : FERMETURE ANNULEE

Marcillac St Quentin : OUVERTURE

Boulazac Joliot Curie : OUVERTURE

Prats de Carlux / Ste Nathalène : COMPTAGE à la rentrée

Sourzac / St Louis en l'Isle : OUVERTURE

RPI Tocane / Montagrier : ANNULATION DE FERMETURE

Razac sur l’Isle : COMPTAGE à la rentrée

Périgueux Gour de l’Arche : COMPTAGE à la rentrée

Razac sur l’Isle : COMPTAGE à la rentrée

RPI Liorac sur Louyre / St Félix de Villadeix / St Georges de Montclar : ANNULATION DE FERMETURE

DASEN: Périgueux Maurice Albe : maintien de la décharge

Contractualisation : présentation des contrats tripartites par Monsieur ZACCARON, Vice-Président du Conseil départemental pour l’Education (DSDEN / Collèges / Conseil départemental), cf document en pièce jointe

Rythmes scolaires :

Monsieur Brevet nous présente un document faisant état des situations pour lesquelles les horaires de sortie ou d’entrée sont modifiés : 11 modifications. (cf. document en pièce jointe de cet article)

2 situations nouvelles par rapport au CTSD :

- St André d’Allas Conseil d’école extraordinaire cette semaine

- Mussidan

Attention, pour ces 2 situations, un accord unanime est requis, les instances étant passées. La logique est bien de laisser l’initiative aux territoires.

FCPE : Nous ne sommes pas d’accord avec les organisations qui libèrent une ½ journée supplémentaire.

Monsieur BOIDE, Union des maires : Les communes et les élus font tout leur possible. Il y a plusieurs problèmes, et pas que l’aspect financier.

DASEN : Nous sommes tous de bonne volonté. Il faut qu’on arrive à répondre à tout, car les décisions que nous prenons aujourd'hui impacteront l'école de demain, et nous en connaîtrons les effets dans 10 à 20 ans.