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Une carte scolaire 2014 difficile : comitĂ© technique du 4 avril
Article publié le vendredi 4 avril 2014.
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CTSD carte scolaire 1er degré – Vendredi 4 avril 2014

Nous, Unsa Education, avons siĂ©gĂ© au comitĂ© technique pour dĂ©fendre chaque Ă©cole menacĂ©e par une fermeture de classe et avons obtenu quelques Ă©volutions. MalgrĂ© tout, le nombre de fermetures est trop important et la carte scolaire 2014 est difficile en Dordogne. 

Vous trouverez en PJ notre déclaration préalable.

Vous trouverez également les situations actualisées dans les tableaux récapitulatifs ainsi que la liste des postes OPS transformés en postes d'adjoint "classique" à la rentrée prochaine.

Le CDEN du 11 avril viendra ajuster les décisions de carte scolaire pour la rentrée 2014.

Un nouveau Comité Technique se tiendra le vendredi 11 avril, en raison d’un vote unanime contre les décisions de fermetures présentées.

COMPTE-RENDU

Représentants de l’administration : Madame Orlay (DASEN), Monsieur BREVET (Secrétaire général), Monsieur GRIFFOUL (IEN Adjoint), Monsieur Sanchez, Madame Minéo

UNSA Education : Natacha ETOURNEAU, JĂ©rĂ´me BOUSQUET, Thierry HADJADJI.

IA-DASEN: en réponse aux déclarations préalables des représentants des personnels :

Le cadre de travail du dĂ©partement est fait sur le terrain. 

Identifier les écoles qui répondent aux critères de carte scolaire d'abord en groupe de travail, puis en comité technique et enfin en CDEN.

On ne peut pas prendre de décisions avant ces étapes.

5,36 postes pour 100 élèves, le tissu rural est donc pris en compte. Les élus disent qu’il faut une réflexion sur le tissu scolaire propre à la Dordogne.

Moins 1000 élèves dans le département. 16 % de TPS scolarisés avec une moyenne nationale de 9 %. 30 minutes de transports pour des petits doit vraiment être un maximum.

Tous les paramètres doivent être posés à plat. Nécessité de positionner des moyens sur l’ingénierie de formation, le remplacement (100e sur 100), sur les axes de la Refondation, si on veut avancer.

L’histoire de la Dordogne fait qu’on garde des écoles à 1 ou 2 classes, mais ce n’est pas mon choix de le faire, il faut une réflexion collective.

Si on rĂ©cupère d’un cĂ´tĂ©, on fragilise de l’autre, y compris dans des dĂ©partements limitrophes. Il faut se poser les bonnes questions : anticiper pour mieux prĂ©venir.

Le critère effectifs ne peut pas être pris indépendamment. Sur une ville comme Sarlat, il y a jusqu’à 40 % de hors-secteur, ce qui pénalise les RPI autour.

Situations de fermetures examinĂ©es au cas par cas :

Nous avons voté contre les propositions de fermeture.

 

Nouveaux dispositifs :

« + de maĂ®tres que de classes Â» : 5 postes prĂ©vus, leur implantation est en cours de finalisation.

 

S’agissant de la scolarisation des – de 3 ans, un repĂ©rage est fait sur les Ă©coles qui au constat 2013 scolarisent le + d’enfants de – de 3 ans : aucun poste ne vient renforcer ce dispositif.

 

Remplacements :

-       Transformation de 19 supports de ZIL vacants en BD

-       + 3 postes de BD

 

3 supports de PEMF disparaissent :

-       maternelle Clos-Chassaing PĂ©rigueux

-       Ă©lĂ©mentaire Joliot Curie Boulazac

-       maternelle Coulounieix – Chamiers

 

3 supports de PEMF sont crĂ©Ă©s :

-       maternelle de Mareuil

-       maternelle Jean Rostand Nontron

-       3e Ă©cole Ă  dĂ©terminer dans la future circonscription de St Astier Ouest Dordogne


   dĂ©claration prĂ©alable   
(53 ko)
   RĂ©capitulatifs des mesur   
(132.8 ko)
   OPS transformĂ©s en adjoi   
(21.5 ko)
 
 
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