Lors de la réunion du 6 mars 2018, l'administration a dévoilé la politique académique d'affectation des futurs stagiaires et son application dans les départements. Nous avons alors eu l'occasion d'indiquer notre position lors de cette réunion :

http://seunsa87.over-blog.com/2018/03/compte-rendu-de-la-reunion-sur-les-supports-pesa-pour-l-annee-scolaire-2018/2019-informations-sur-le-mouvement-et-sur-l-affectation

 

Mercredi 7 mars, un CTA se tenait. Le SE-Unsa est intervenu directement auprès du secrétaire général pour dénoncer cette décision et demander une marche arrière. En effet, nous avons indiqué que c'était la plus mauvaise des solutions qui a été choisies.

Pour les futurs stagiaires, l'affectation sur un mi-temps va leur conférer une responsabilité de classe accrue. Une seule et unique classe sera rencontrée par les stagiaires alors même que notre profession présente différentes réalités en fonction des cycles.

Pour les collègues, les conséquences seront directes. Le mouvement en Limousin va être bloqué car des postes seront réservés. C'est donc préjudiciable pour l'ensemble des agents.

Nos collègues TRS verront leur bloc rendu encore plus instables. Nous avons clairement indiqué qu'une stabilité des blocs permet aux collègues TRS de s'impliquer au sein de leur école. Cette stabilité est nécessaire au bon fonctionnement des équipes pédagogiques.

Le secrétaire général semble ne pas vouloir bouger sur ce point. Il est conscient des réalités mais ne remet pas en cause la nouvelle maquette estimant que les travaux étaient trop avancés avec l'ESPE.

Nous évoquerons à nouveau cette question la semaine prochaine lors du CTA de repli. La présence d'un nouveau recteur (s'il est nommé) aura-t-elle un impact sur cette décision ? Nous en doutons fortement. Le prochain CTA se déroulera le 16 mars au matin.