Second CTSD ce jour, malgré un vote négatif de l'ensemble des représentants du personnel, cette cicrulaire du mouvement à la sauce (Aigre-douce, piquant, chili ?) Blanquer va s'appliquer.

Localement le dialogue social a fonctionné et, suite à nos demandes et remarques, que l'administration locale a entendues et prises en compte, cela permet de limiter, autant que faire se peut, la casse.

Il n'empêche qu'en tant que représentants du personnel du SE-UNSA, siégeant depuis de nombreuses années en CAPD et connaissant l'importance de ces oépartions de mouvement,  nous sommes toujours en colère contre ce mouvement formaté par le ministère et inquiets, et nous avons de quoi :

- Sur le fonctionnement du logiciel, testé en grandeur nature et direct sur des opérations si importantes. Quand on pense aux dernières évaluations et vote électronique pour les élections pro, on ne peut qu'être inquiets...

- Sur la non priorité pour nos collègues victimes de fermeture de classe.

- Sur l'affectation imposée à titre définitif puisque nos collègues ont l'obligation de faire des voeux larges (MUG) avant de faire des voeux précis. Que dire des nominations lointaines qui pourraient intervenir, même à titre provisoire, si nos collègues n'obtiennent rien dans leur voeux précis et voeux en zone infra ?

A signaler que suite à notre déclaration (à découvrir ci-dessous), notre nouveau Dasen s'est mis en colère et a dénoncé l'amalgame que nous ferions entre l'école du socle et les établissements du savoir fondamentaux. Nous lui avons rappelé la méthode employée ( cet amendement est tombé comme une météorité à l'assemblée), les courriers de la rectrice qui ont plus inquiété que rassuré nos collègues, sans oublier le manque de dialogue social de notre ministre, indiqué dans notre déclaration (où nous avons annoncé une nouvelle extraordinaire, à savoir que le ministre avait enfin daigné recevoir les représentants nationaux du SE-UNSA le 22 mars, sur le sujet des EPSF !).