Présents :

M. Leblanc, IEN (M. Bariller, IEN adjoint à l’IA, étant en partance pour un autre département)

Représentants des organisations syndicales Se-Unsa 22, Snuipp et Sgen-Cfdt

 Plusieurs points ont été pointés et débattus :

-          Evaluation sur ce que les fusions ont pu produire sur la carte scolaire, à long terme

-          Quelle part de fusions proposées par l’administration et quelle part par les communes ?

-          La difficulté, lorsque les locaux sont sur plusieurs communes, plusieurs sites, d’avoir des projets communs

-          Difficulté de communiquer avec tous les collègues

-          Perte de temps pour les déplacements, les gestions de plusieurs sites

-          Frais de déplacement entre les sites

-          Fusion entre école élémentaire et école maternelle entraine souvent plus de cohésion, liens de la PS au CM2

-          En conseil d’école on survole car ce qui intéresse les uns n’intéresse pas les autres

-          Difficultés sur le site où n’est pas le directeur

-          Les enseignants se sentent exclus de la prise de décision de la fusion

-          La compression de personnel (ATSEM) et/ou de budget

Le Se-Unsa a demandé que des moyens soient réservés en fin d’année pour remplacer les équipes au complet afin de préparer la rentrée, de créer des liens, de travailler sur des projets communs, après la fusion. Il serait aussi judicieux de positionner une journée après la rentrée afin d’inclure les nouveaux collègues, d’ajuster les décisions.

 Le Se-Unsa a proposé qu’une réunion soit mise en place avec l’association des maires du département afin de définir ensemble les critères et pratiques lors d'une fusion.

 Un GT se réunira à la rentrée pour continuer le travail commencé aujourd’hui.

 M. Leblanc propose de garder 4 axes de travail :

 - évaluation des fusions déjà faites depuis quelques années

- critères retenus pour une décision de fusion 

- comment préparer et réussir une fusion sur du long terme

- lien avec les collectivités locales