Depuis 2003, le 17 mai est la journée mondiale de lutte contre l’homophobie et la transphobie. Cette action vise les violences et discriminations subies par les personnes LGBT, mais aussi leurs enfants ou encore les personnes qui leurs sont assimilées, notamment par leur apparence.

 

En France, les injures ou agressions LGBTphobes ont reculé de 15 % en 2020, ce qui est probablement lié aux différentes périodes de confinement. Même si un coup d’arrêt semble avoir été porté à l’augmentation continue observée depuis 2016, les associations LGBT redoutent des chiffres en trompe l’œil. En règle générale, une victime de menace ou d’agression anti-LGBT sur cinq porte plainte, et pour les victimes d’injures, il s’agit d’une personne sur vingt, ce qui n’a pas dû être facilité en temps de confinement.

 

Éduquer et former : une nécessité

 

Pour dépasser ces difficultés, l’éducation est un puissant levier de changement pour construire le droit d’être soi, autour des questions relatives à l’orientation et à l’identité sexuelle.

 

Pour dépasser les préjugés, le SE-Unsa s’engage dans la lutte contre l’homophobie et la transphobie en poursuivant l’égalité des droits. Pour ce faire, une formation spécifique des personnels est nécessaire. Pour ne plus attendre, le SE-Unsa propose des modules de formation à destination des enseignants, CPE, PsyEN et AESH, visant quatre objectifs :

 

Pour y participer, n’hésitez pas à nous contacter