Retour à l'article normal

SE-UNSA 12


 Par SE-UNSA 12
 Le  jeudi 26 mars 2020

Crise sanitaire : les dernières infos : Jeudi 26 mars

 

Vous le savez, les établissements sont fermés à compter du lundi 16 mars et ce jusqu'à nouvel ordre. Il n’y a pas de fermeture administrative des écoles et établissements (à l'heure actuelle), c’est l’accueil des élèves qui est suspendu. Il s'agit d'une mesure exceptionnelle qui répond à l’évolution d’une crise sanitaire majeure et sans précédent. La date de réouverture n'est pas connue mais cette situation pourrait durer plusieurs semaines.
A chaque fois que nécessaire, l'équipe du SE-Unsa 12 vous donnera les dernières informations, dénoncera les incohérences, questionnera notre administration en privilégiant l'essentiel en ce temps de crise : la santé.

Afin de vous accompagner, de vous aider, l'équipe du SE-Unsa 12 mettra cet article à jour dès que cela sera nécessaire. Nous préciserons donc à chaque fois le jour et l'heure. La partie la plus récente sera en haut de l'article.

Bien sûr, nous resterons joignables par les moyens habituels (05 65 42 63 15 et 12@se-unsa.org).

mercredi 1er avril : courriel sur nos boites pro de Mme la Dasen, faisant suite à la vidéo du ministre.

Encore une fois nous pouvons comprendre la désorganisation du système et les délais resserrés. 

Mais tout de même.

Sur le soutien :

Qui étudie la faisabilité de tels dispositifs ? Qui dans l’encadrement du système éducatif (le plus proche du terrain) peut croire à l’efficacité d’un tel dispositif de soutien à distance ?

Qui pense qu’il n’y a aucun risque à donner des noms et coordonnées d’enfants en difficulté dans le  plus grand désordre, afin qu’ils soient redispatchés, on ne sait trop comment ?

Qui ne voit pas qu’aucun conseil de cycle ou de maitres ne soit sollicité dans la décision de communiquer ces données, faisant craindre des disparités évidentes dans le traitement de la difficulté scolaire au sein d’une même école ?

Bref nous improvisons tous et devons appliquer sur le terrain des décisions ministérielles rapidement, mais essayons de rester dans le domaine du possible.

jeudi 26 mars : directerices/directeurs : responsables mais pas de tout

Les directrices et directeurs sont sollicités pour compléter un tableau, sur le nombre d'enfants accueillis, le nombre d'enseignants présents à l'école. Cela peut s'entendre sur le temps scolaire puisque cette fonction a un rôle d'organisation pédagogique. Mais quand on demande le mercredi, le samedi, le dimanche (et même pendant les vacances pour une circo (si si, ...oralement bien sûr) ) si des enseignants sont ou seront présents sur l'école, notre administration se trompe d'interlocuteurs. En dehors de leur temps scolaire, ils ne sont plus sous la "responsabilité" pédagogique du directeur ou de la directrice. C'est à leur employeur de les contacter directement

mardi 24 mars : continuité pédagogique et aberrations

Une nouvelle fois, dans une circo (a-t-on besoin de préciser ?), il est demandé aux collègues de donner une autorisation pour venir à l'école à des parents sans internet pour qu'ils viennent à l'école récupérer des documents. Deux questions se posent :
- comment leur faire parvenir ce document chez eux pour qu'ils se déplacent ? Impossible, sans internet, ou avec la poste mais autant leur envoyer directement les documents, sans déplacement, non ?

- une sortie pour récupérer des documents dans une école fait-elle partie des motifs légaux ? peut-être peut-on considérer qu'il s'agit d'un "motif familial impérieux" ou éventuellement la promenade dans un rayon maximum d'un kilomètre...Vous trouverez ICI le document.

Bref, y en a marre de ces consignes sans sens ni cohérence !

vendredi 18 mars : 12h30 : Réponse au mail de l'IEN de Rodez

Des collègues de la circonscription de Rodez ont reçu un mail de leur IEN leur demandant d'ouvrir les écoles en début de matinée et en début d'après-midi pour accueillir d'éventuels enfants de soignants. Nous lui avons donc écrit pour lui rappeler la consigne nationale, lui amener différents éléments pour faire évoluer son appréciation de la situation et faire évoluer son positionnement.

Vendredi 18 mars : 11h20 : Lettre des IEN aux volontaires

Des collègues se sont portés volontaires pour assurer la garde des enfants de personnels soignants. C'est une démarche qui va dans le sens de l'intérêt collectif.
Néanmoins, nous vous invitons à avoir des garanties et à les demander à votre IEN (un modèle de courrier est disponible sur simple demande).
La première, c'est d'avoir la garantie d'être en sécurité sanitaire afin de ne pas contaminer ces enfants et ramener ce virus à votre domicile (s'il n'y est pas déjà). Selon ce qui demandé pendant cette garde, les gestes barrières sont suffisants...ou pas.
La seconde, c'est d'avoir la garantie qu'il a été fait appel à vous en prenant en compte vos contraintes personnelles (santé, garde d'enfants,...) et vos contraintes professionnelles (classe(s) à gérer, permanences,...).

Il est fort possible avec l'augmentation des cas et le possible élargissement de cette garde à d'autres personnels que le besoin de volontaires augmente. Pour répondre à cela, des collègues nous faisaient remarquer que cet appel à volontaire commençait à s'élargir au-delà des enseignants (AED,..). Nous allons faire faire la demande auprès de la DASEN pour cet appel à volontaire soit élargi au personnel non enseignant (AESH, emploi civique).

A côté de cela, dans ce courrier, nous avons eu quelques informations sur la situation dans certaines circonscriptions (lieux de garde, nombre d'enfants,...). Il nous semble important que ces informations soient diffusées aux enseignants et qu'elles soient même plus précises. Certains élèves sont pris en charge sans que l'école concernée ne soit au courant, c'est bien dommage pour l'information et pour la transmission des "devoirs" à la maison (pour éviter la double journée de travail aux personnels soignants).
 

Mercredi 18 mars : 19h : Lettre à la DASEN

Cordialement.On nous rapporte que les différents inspecteurs se préoccupent de l'accueil des parents soignants et des mails en ce sens sont envoyés dans les écoles. Comme nous l'avons écrit ci-dessous, c'est de notre responsabilité collective de répondre à cette nécessité. Cependant, on ne peut pas demander aux collègues des actions qui vont au contraire des consignes nationales, comme se déplacer à son école au cas où il y aurait un besoin.

Mercredi 18 mars : 11h : Lettre à la DASEN

Depuis les annonces du président et de son ministre de l'intérieur, les consignes sont claires : restez chez vous !
Pour autant, depuis ces annonces, aucune consigne dans les écoles (à part le tableau de présence des élèves de personnel soignant à faire remonter).

Nous comprenons que cette situation demande à tous d'importants efforts d'adaptation mais les enseignants attendent des informations précises et rapides de leur administration.

Nous avons donc écrit à notre DASEN sur les points suivants :

le confinement :

Le président a dit hier que le confinement était obligatoire dès lors que le télétravail était possible. Cela concerne donc tous les personnels enseignants.
Jusqu'à maintenant, aucune consigne départementale n'a été envoyée aux collègues pour qu'ils restent chez eux (sauf cas de garde d'enfants de parents soignants sur l'école), même pas pour nous dire que les animations pédagogiques sont annulées. Cette consigne aurait dû être donnée dès lundi soir. Nous avons donc demandé à notre administration que cette consigne soit diffusée. Même si elle ne nous parvient pas rapidement, les consignes ministérielles et présidentielles sont très claires : restez chez vous pour éviter la transmission du virus.

Il n'est donc pas question de retourner sur l'école à attendre un éventuel enfantde parents soignants. Nous sommes en confinement et sur place, nous n'aurions pas le matériel nécessaire pour accueillir cet élève hypothétique avec une sécurité sanitaire.

sur la garde d'enfants de personnels soignants sans solution de garde :

° Garanties :

Pour nous, l'enseignant, quand il le peut (problèmes de santé,...) se doit de participer à l'effort collectif et aider les personnels soignants en gardant leurs enfants. Néanmoins, nous restons attachés au principe du volontariatdemandé par notre administration (où un collègue directeur n'a pas plus d'obligation qu'un autre collègue par exemple).
Toutefois, l'enseignant doit avoir des garanties:

* sur leur sécurité : tout comme les autres personnels, il doit avoir l'information comme quoi sa sécurité sanitaire est assurée, que le matériel nécessaire (masque, gel,...) est bien disponible. Il est donc nécessaire que les mairies, communauté de communes, qui gèrent souvent ce service, aient donné toutes les informations générales (horaires, lieux, prix,...) et sanitaires aux écoles. Respecter les gestes barrières ne suffit pas quand il faut s'occuper des plus jeunes enfants qui ont besoin de cette proximité ou quand il faut aider ces enfants dans les devoirs. Comme c'est à l'employeur doit veiller à la sécurité de ses employés, c'est donc à notre administration de s'assurer que ce lien est fait.

* sur leurs missions : l'enseignant volontaire pourra garder ces élèves mais aussi les accompagner dans leur travail donné par leur école. On comprend bien qu'il faut libérer au maximum les personnels soignants de ces tâches.Il serait donc normal que l'enseignant volontaire sache précisément ce que l'on attend de lui. On ne peut attendre de lui qu'il effectue ce travail en plus de son travail de continuité pédagogique avec sa (ou ses) classe(s). D'ailleurs, si d'aventure, lebesoin devient supérieur aux moyens et que des réquisitions soient nécessaires, notre administration se devra de les réaliser en fonction de critères transparents, liés aux contraintes de chacun (état de santé, suivi d'une classe, enfant à charge,...). L'organisation sera également un élément important (turn over,...).

° dans les écoles privées ?

Ce service de garde est-il mis en place dans les écoles privées ?Sur Rodez, on nous signale que des parents d'élèves d'écoles privées téléphonent à des écoles publiques pour qu'elles accueillent leurs enfants pendant cette période. Là aussi, nous attendons des réponses de notre administration. Ce ne serait pas la première fois que les écoles privées dérogent aux règles générales mais là, que deviendrait leur argument de "mission de service public" ?

° Regroupement de ces enfants sur certains sites :

Une réflexion était en cours hier pour mettre en place sur les villes ayant des hôpitaux (Villefranche, Decazeville,Millau, Rodez) une sorte de regroupements de ces garderies sur un ou plusieurs sites sur une même ville. Si cela devait être organisé comme cela, nous avons demandé à ce qu'une information clairesoit donnée à toutes les écoles aveyronnaises et que toute cette organisation ne repose pas uniquement sur l'école publique.

sur les opérations autour d'affelnet :

Lundi, nous avons reçu une information sur l'édition possible du volet 2 pour affelnet. A sa lecture, nous pouvions nous demander si nous étions encore en période de crise sanitaire. Ces opérations d'affectation vont devoir être retardées ou vont devoir évoluer pour s'adapter à nos nouvelles contraintes. Nous avons demandé à ce que des instructions claires, adaptées aux nouvelles conditions d'exercicesoient données aux écoles.

Nous vous tiendrons informés des réponses apportées. Nous restons disponibles pour toute question et/ou pour toute autre signalement. Les remontées que nous avons, font état d'une importante mobilisation des collègues pour rester en contact avec les familles.

Solidarité et sens du collectif nous permettront de faire face à cette crise majeure.

Lundi 16 mars : 19h30 : Mail de notre administration

Ce courriel note un changement concernant les AESH qui doivent dorénavant rester chez eux avec maintien du salaire, sans besoin d'un justificatif.

Voici un extrait du courriel :

Aussi, dès à présent et jusqu’à nouvel ordre, il vous est demandé de rester à votre domicile tout en conservant un contact avec l’école ou l’établissement, a minima téléphonique, afin de vous inscrire dans les modalités du dispositif mis en œuvre pour assurer la continuité pédagogique des élèves. De ce fait, il ne vous est pas demandé de fournir de justificatif d’absence.

Pour les échanges à venir, votre interlocuteur reste votre chef d’établissement et/ou directeur d’école auquel vous transmettrez vos coordonnées afin qu’ils puissent vous contacter dès que la situation l’exigera. 

Nous vous remercions aussi de rester en lien par mail :

-      - avec le service de l’école inclusive : ia12-coordoash@ac-toulouse.fr (questions pédagogiques liées aux élèves),

-      - avec la DSDEN :  ia12-dipem1d@ac-toulouse.fr (questions administratives urgentes).

Dimanche 15 mars : 19h30 : Lettre aux recteurs de notre ministre

Cette lettre rappelle la nécessité de limiter les déplacements, les contacts, les réunions (présence minimale dans les écoles, télétravail, réunion annulée ou reportées). Pour une meilleure lecture, nous avons repassé en rouge les éléments importants.

Cela devrait donc se traduire par des personnels qui restent chez eux. Nous pensons aux AESH, aux brigades,... . Dans cette lettre, ce n'est pas précisé. Nous avons donc interrogé notre administration à ce sujet.


Samedi 14 mars : 19h30 : Intervention du premier ministre

Cette conférence de presse apporte de nouveaux éléments: les français semblent ne pas respecter suffisamment les consignes, il ne faudra donc conserver que ce qui est essentiel :

«Je le dis avec gravité: nous devons tous ensemble montrer plus de discipline dans l’application de ces mesures», a insisté M. Philippe, qui a consulté samedi le Conseil scientifique composé de dix experts.

«Ce que nous devons faire en ce moment, c’est tout simplement d’éviter au maximum de se rassembler, limiter les réunions amicales et familiales, n’utiliser les transports en commun que pour aller au travail et seulement si la présence physique au travail est indispensable, ne sortir de chez soi que pour faire ses courses essentielles...»

L'objectif numéro est bien de limiter la propagation du virus afin de protéger les plus fragiles.Il est donc primordial de ne pas prendre le risque d'être contaminé trop facilement. A ce titre, les permanences physiques à l'école semblent être totalement contradictoirespuisqu'on nous demanderait de rencontrer de nombreuses personnes différentes et donc de multiplier les risques d'être contaminé et de propager le virus... C'est totalement aberrant !

Peut-être que de nouvelles consignes vont émerger.


Samedi 14 mars : 17h : Foire au question de notre ministère

 

Elle se trouve ICI.

Après lecture des différents passages nous concernant directement, nous y trouvons trop d'incohérences:

- on nous parle de privilégier le télétravailau maximum, que la présence sur l'école le lundi 16 mars n'est pas systématique (cf p5) et dans le même temps, il est écrit que cela s'adresse à d'autres personnels, qu'il est nécessaire d'avoir une présence physique sur l'école.

Il est mentionné que "les écoles et établissements scolaires organiseront des permanences d’accueil sur site aux horaires d’ouverture au public afin de tenir à disposition des élèves qui ne disposent pas des outils numériques adaptés des ressources pédagogiques en format papier".

- les directeursvont être plus impactésque les autres car semblent reposer sur eux, à la fois la continuité pédagogique, à la fois la permanence physique ou pas et le nettoyage des écoles,

- il est écrit que l'autorité doit délivrer un justificatif(p12) pour le travail à distance : pas de document chez nous encore et surtout sur quels critères vont-ils être délivrés ?

Bref, il faudrait qu'on y soit, sans y être ! En tout cas, pour nous, la consigne est claire : pas de risque sanitaire à prendre.


Vendredi 13 mars : Après la classe : réunion des directeurs

 

Les directeurs de toutes les circonscriptions ont été invités à une réunion ce vendredi. Le nombre de présents était limité à 15 et le contenu de la réunion a été décidé collectivement à la DSEN, nous a-t-on dit. Vous trouverez donc si dessous le compte-rendu d'une circo dont les informations devraient être largement communes à toutes les circonscriptions. Merci de nous signaler si des éléments divergents vous ont été donnés.

 

Il nous a été dit que l'école n'était fermée qu'aux élèves, qu'une présence autant que nécessaire devait être mis en place dans les horaires de l'école. Les collègues ont droit, comme les autres salariés, à être à leur domicile pour garder leurs enfants à domicile. Pour cela, ils devront remplir une autorisation d'absence pour garde d'enfants (sans jour de carence). Dans ce cas-là, ils seront en dehors de l'école mais toujours en mission.

S'est posé la question de pouvoirprendre son (ou ses enfants) sur l'école.
Dans le cas, où l'enfant est scolarisé sur l'école où l'enseignant exerce, cela pose le souci de la présence d'un élève de l'école dans l'école.

Dans le cas où l'enfant est dans une autre école, se pose la question de la responsabilité de l'enseignant s'il arrive quelque chose à l'intérieur de l'enceinte scolaire.
Pour tous ces cas, il a été demandé d'éviter au maximum la présence de nos enfants mais possible si pas d'autres solutions de garde.

Bien entendu, les collègues à risque n'ont aucune obligation de venir sur l'école.
On nous a également parlé du service minimum pour les enfants de parents qui travaillent dans la santé. Du personnel communal ou intercommunal sera réquisitionné. C'est normalement l'Agence Régionale de Santé qui gère cela mais nous serons peut-être amenés à orienter ces parents. Il est possible que ce service minimum ait lieu dans une école.

 

Bien entendu, on nous a parlé de lacontinuité pédagogiquequi nous fallait mettre en place.Plusieurs scenariisont proposés selon la situation de l'école (ENT ou pas,...), selon la situation des parents. Ils ont été montré pour avis et remarques au groupe de consultation des directeurs qui s'est réuni mercredi dernier.Cela nous a été présenté comme une aide pour mettre en place cet "enseignement" à distance. 
Il est privilégié la solution de l'ENT. Il est possible de créer des ENT gratuitement et il nous a été dit que les équipes de circonscriptions seraient disponibles pour accompagner, mettre en place.

Concernant la communication par courriel, il nous a rappelé qu'un envoi en copie cachée (cci) des adresses était nécessaire pour garder la confidentialité des adresses, que l'on pouvait mettre en place des listes de diffusion (une par classe par exemple).

Il nous a été dit également que les municipalités pouvaient être sollicitées pour mettre en place ce lien avec les familles (un courrier leur est parvenu en ce sens).

Le CNED propose également gratuitement la mise en place d'une classe virtuelle (dispositif école à la maison) avec une banque d'exercices par niveau. Dans le courriel qu'ont reçu les écoles, l'inscription et la mise en place sont expliquées. Il semblerait que des activités peuvent être proposées sur un mois.

De manière générale, il nous a été demandé de proposer un travail régulier aux élèves, organisé, avec des consignes claires(temps imparti,...).

La question des élèves allophonesa été posée qui n'ont pas la possibilité d'avoir un suivi en dehors de l'école du travail scolaire. Il semblerait qu'une aide en dehors de l'école (mairie ?) par l'enseignant ne soit pas possible. Pas de réponse à l'heure actuelle mais engagement d'en trouver une.

Des questions des parentsvont nous être soumises. Notre administration nous demande de les relever et de les faire parvenir à notre inspection. Elle pourra ainsi avoir une idée des interrogations des parents et surtout apporter son aide dans le cas où la question ne demande pas une réponse immédiate.

 

Il nous a été dit que, jusqu'à nouvel ordre, les animations pédagogiques, les équipes de suivide scolarité,... étaient maintenues.

 

Concernant les brigades, elles seront par défaut dans leur école de rattachement et devront s'inscrire dans le fonctionnement de l'école. Elles resteront mobilisables, notamment pour aider les petites structures.

Concernant les emplois civiques, le cas n'avait été pas vraiment envisagé mais les réponses apportées devraient aller dans le même sens que les autres personnels.

Concernant les AESH, ces personnels doivent se rendre sur leur lieu habituel de travail sauf si ils se retrouvent dans la nécessité de garder leur(s) enfant(s). Ils ne peuvent aider les enfants dont ils ont la charge à domicile. Par contre, ils peuvent être amenés à accompagner l'enfant qui serait pris en charge par la service minimum pour les personnels soignants sur le lieu où c'est proposé.

 

On nous a demandé de signaler toutes les situations graveschez les familles, chez le personnel aux inspections.

Il nous a été rappelé de nous tenir informé sur le site du ministèredes évolutions des consignes.