Vendredi 21 février, nous avons rencontré les députées de Limoux et Carcassonne, respectivement Mmes Robert et Hérin. Puis, lundi 2 mars, nous avons rencontré M. Péréa, député de Narbonne.

Après avoir rappelé notre position de syndicat réformiste aux élues, le SE-Unsa a expliqué que, dans cette réforme que l’UNSA ne souhaitait pas, il ne faut « ni punies ni perdant.e.s ».

Le SE-Unsa a informé sur les résultats de la consultation de nos adhérents mi janvier : c’est un constat de grande défiance qui a été fait.

Le SE-Unsa a alors posé ses exigences sur les retraites et la revalorisation, les mêmes qui sont exposées à chaque entrevue ministérielle :

• Une revalorisation qui permette le maintien du niveau de nos pensions et qui reconnaisse nos métiers à leur juste valeur ;
• Une loi de programmation sécurisant la construction de la hausse à terme des 8 à 10 milliards d’euros annuels consacrés à la revalorisation avec le calendrier de montée en charge.
• Un dispositif traduisant 100% de droits acquis pour les générations à partir de 75 ; avec un calcul sur les 6 derniers mois avec un salaire au maximum de la grille soit 6^ème échelon HC (clause à l’italienne : celle-ci devrait être acceptée)
• Un aménagement des fins de carrière : retraite progressive pour tous et départ possible en cours d’année scolaire pour les PE ;
• Pas de contrepartie 

Le SE Unsa propose à tous nos collègues d’interpeller les députés/sénateurs.

Par ce courrier, vous poserez vos exigences : maintenir notre niveau de retraite, revaloriser nos métiers, et pas de contrepartie.

Nous rencontrerons les sénateurs de l’Aude très bientôt.