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CTPD du 5 septembre 2007 - Résultats Carte Scolaire
Article publié le jeudi 6 septembre 2007.
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OUVERTURES
BLOCAGE LEVE
(réouverture des classes)
FERMETURES CONFIRMEES
- Ouveillan élémentaire
- Fleury élémentaire
- Fleury maternelle
- Conques sur Orbiel maternelle
- Montréal élémentaire
- Mirepeisset
- Narbonne Plage Gaston Bonheur
 
- Narbonne Montmorency
- Villalier élé
- Salles d’Aude mat
- Luc sur Orbieu prim
- Lapalme prim
- Laredorte prim
- Ste Colombe sur l’Hers
- Port La Nouvelle A PIC élé
- Narbonne Jean Jaurès élé
 
Ouverture d’un ½ poste Villegly prim
 
CAPD  :
 La CAPD de la 4ème phase de nomination des personnels aura lieu le jeudi 6 septembre après midi
 
EVALUATIONS CM2 :
 Les délégués du personnel du SE-UNSA au CTPD ont signalé à Monsieur l’Inspecteur d’Académie l’imposture que constituent les nouvelles évaluations en CM2 dont les contenus sont tirés aux 2/3 des anciennes évaluations de CE2 (1 exercice est même commun aux CE1 et aux CM2…). Quel est le but recherché par ce procédé ?
Repérer les élèves orientés en SEGPA ?
Empêcher les enseignants de justifier des propositions de maintien ?
Faire l’économie des maîtres E (plus nécessaires avec un taux de réussite très important) ?
Eviter les redoublements (puisque tout le monde réussira) ?
Créer un décalage entre l’école primaire et les demandes du collège ?
Etc … Vous avez sûrement une petite idée vous aussi et nous vous en laissons seul juge.
 
Déclaration faite lors du CTPD du 5 septembre
La rentrée scolaire est, comme chaque année, un moment médiatique et une nouvelle fois les sujets ne manquent pas. Le gouvernement, qui veut faire passer auprès de l’opinion publique ses décisions budgétaires de suppression massive d’emplois, ne manque pas d’alimenter la presse sur le nombre de fonctionnaires trop important, le coût de la scolarité en France, l’amplitude des heures de cours, la baisse des effectifs.
Pour l’UNSA Education, ce sont les conditions dans lesquelles les enseignants vont devoir exercer leur métier, qui méritent d’être mises en avant à cette rentrée :
- une cinquième année de suppressions d’emplois (plus de 20 000 en 5 ans, soit un poste de supprimé pour 10 élèves) ce qui a pour conséquences notamment, la multiplication des compléments de services, des classes plus chargées, des emplois du temps très contraints ;
- une inflation d’heures supplémentaires ;
- une détérioration de l’encadrement éducatif avec la multiplicité des contrats précaires.
L’abrogation du décret de Robien en juillet a fait l’unanimité. Ce n’est que justice par rapport à la légitime colère et inquiétude des enseignants du second degré. Pour autant, l’UNSA Education a contesté la décision de ne pas réintroduire dans le budget, pour la rentrée 2007, les 3058 « équivalents temps plein » supprimés. En effet, sans cet apport budgétaire, les enseignants ne seront pas rétablis pleinement dans leurs droits.
Nous allons être vigilants à ce que l’engagement du ministère, prévoyant le retour aux dispositions antérieures soit une réalité.
On ne peut ignorer, à cette rentrée, le cadre dans lequel va s’engager le travail de réflexion sur notre métier. Le contexte de réduction budgétaire annoncé pour 2008 grève d’ores et déjà les débats à venir.
On ne peut ignorer non plus le slogan tant affiché « travailler plus pour gagner plus ». A l’UNSA Education nous avons d’autres exigences pour les personnels de l’Education Nationale. Nous revendiquons de pouvoir travailler mieux pour la réussite de tous les élèves. Il s’agit d’obtenir une véritable formation professionnelle (initiale et continue) dans la logique des compétences du socle commun, et d’obtenir la reconnaissance de l’ensemble de la charge de travail pour voir améliorer nos conditions de travail.
Il importe également de mieux reconnaître le métier, par le biais d’une véritable revalorisation financière, considérable enjeu d’avenir pour l’attractivité du métier.
Le ministre de la fonction publique doit ouvrir une véritable négociation sur nos salaires et donner la priorité à la revalorisation du point d’indice.
L’abondement des revenus de quelques uns au travers de l’accumulation d’heures supplémentaires n’est pas acceptable au regard de la détérioration collective des conditions de travail de tous, avec les suppressions d’emplois annoncées.
A l’UNSA Education, nous nous préparons donc à défendre avec pugnacité nos intérêts et sommes prêts à nous mobiliser pour obtenir une véritable négociation pour nos salaires, basée sur l’augmentation du point d’indice, l’arrêt des suppressions systématiques d’emploi, une négociation sur la réalité de l’exercice de notre métier.
 
 
 
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