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Grève du 24 janvier : affichette + lettre au maire
Article publié le vendredi 11 janvier 2008.
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Vous trouverez ci-joint :
- une affichette pour la mobilisation du 24 janvier
- une lettre au maire sur le service minimum
 
A lire, imprimer, diffuser, afficher … sans modération ...
 
Par dépêche le 21 décembre, nous avons appris que la FAEN appelait à la grève du 24 janvier.
Hier une dépêche annonçait également l’appel du SGEN-CFDT. A noter que la CFDT fonctionnaires n’appelle toujours pas à cette grève.
 
Service minimum dans les écoles

Merci de nous faire remonter les informations concernant d’éventuelles mesures sur ce point à l’aide du formulaire ci-dessous.

Un service minimum est-il mis en place par la commune ? Avez-vous reçu des pressions pour indiquer 48 heures à l’avance si vous êtes gréviste ?....

service minimum
:

 

Si tel est le cas, nous rappellerons la position du SE-UNSA sur ce sujet avec nos consignes.

 
Il est bon de rappeler à cette occasion que la grève du 24 janvier étant une grève fonction publique, c’est l’ensemble des personnels y compris les personnels territoriaux qui sont concernés.
A quand un service minimum du dialogue social ?
 
Le projet de mise en place d’un service d’accueil minimum dans les écoles avait été explicitement annoncé par M. Darcos dans sa conférence de presse du 11 décembre dernier. Le ministre avait alors précisé qu’il ferait l’objet d’une discussion avec les différents partenaires concernés, notamment les organisations syndicales. Il avait informé oralement le SE-UNSA que celle-ci devrait avoir lieu courant janvier.
 
Ce 8 janvier, le ministre demande, dans une note aux recteurs, une mise en œuvre expérimentale de l’accueil minimum le 24 janvier prochain, jour de la grève dans la Fonction Publique.
Où est passée la concertation promise ?
Le 11 décembre, le ministre avait inscrit ce service minimum d’accueil dans une procédure de dialogue social susceptible de prévenir les conflits. Sa note du 8 janvier aux recteurs n’en fait pas mention.
Où est passé le dialogue promis ? La ferveur expérimentale du ministre est visiblement sélective.
 
Du 11 décembre au 8 janvier, le SE-UNSA constate qu’il aura fallu moins d’un mois pour que la parole du ministre s’évapore…
Sur un sujet aussi sensible touchant au droit de grève des enseignants, le syndicat estime qu’on est en droit d’attendre d’autres méthodes.
Le SE-UNSA réaffirme qu’il ne saurait être question de toucher à ce droit démocratique fondamental.
Mais, puisque le ministre est enclin à l’expérimentation, le SE-UNSA lui lance un défi. Qu’il applique tout simplement la loi qui fait obligation à l’employeur de négocier sur les sujets en conflit dans le délai du préavis de grève. Sur les salaires, l’emploi et le devenir du Service Public, le ministre de l’Education nationale n’a-t-il donc rien à négocier ?
 
En attendant sa réponse, le SE-UNSA appelle les enseignants à se mobiliser massivement et à faire grève le 24 janvier.
 
 

 


   Lettre au maire   
(23.5 ko)
   affichette   
(235.7 ko)
 
 
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