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Le groupe Blanchet se réunit à la demande du Dasen 3 fois dans l’année, depuis l’an dernier.
Y participent : le Dasen, M Pinel, le référent des directeurs (Fabien JOLIAT), des directeurs de toutes les circos représentant tous les types de direction ainsi que des représentants des organisations syndicales, directeurs ou directrices : 17 personnes.
Nathalie Hanquart représente le SE Unsa. Elle est directrice d’une école de 4 classes à Chauny.
Tous les directeurs, dans chaque circonscription, savent qui est le directeur(trice) de leur circonscription qui participe à ce groupe Blanchet : ils ont reçu un mail de leur IEN.
Cette réunion a débuté par une minute de silence, en hommage à Samuel Paty, assassiné un an auparavant.
Depuis le 11 octobre, dans notre département, si un cas Covid est signalé, on ne ferme plus la classe. Les élèves mettent un masque (sauf si c’est une classe maternelle), et des tests salivaires sont effectués rapidement, le lendemain au plus tard. Des tests salivaires sont effectués à nouveau une semaine après. L’enfant positif reste isolé 10 jours. Les enfants qui n’ont pas passé le test salivaire restent chez eux pendant 7 jours. Quand ils reviennent en classe, ils doivent présenter un test négatif ou une attestation sur l’honneur. Le Dasen nous informe qu’il va y avoir une nouvelle distribution d’autotests pour les enseignants.
Le Dasen a accordé 15 jours supplémentaires pour envoyer les documents. Le SE Unsa lui avait écrit pour souligner l’inutilité d’une telle demande dès l’arrivée du courrier du Recteur. Pour le Dasen, la situation est souvent complexe en cas de situation de crise et il est important de formaliser les choses.
Nathalie Hanquart soulève le problème de la multiplication des enquêtes, « flash » ou plus longues à compléter, alors que beaucoup de collègues directeurs dans des petites écoles n’ont pas bénéficié de leur jour de décharge avant fin septembre. Le Dasen reconnait des difficultés d’organisation au sein du service de la Dipred et assure que le calendrier des décharges sera anticipé pour la rentrée prochaine.
Les directeurs soulèvent aussi la difficulté de faire signer le document suite à un jour de grève, alors que les personnels se sont déclarés grévistes à l’avance. Pourquoi faire signer tous les personnels ?
Il y a 3 groupes cette année : les directeurs nommés en septembre 2020, les « faisant fonction » à cette rentrée, et les directeurs nouvellement nommés en septembre 2021.
Les directeurs nommés en 2020 n’ont pas eu toute la formation prévue l’an dernier en raison de la pandémie. 2 directrices présentes à cette formation soulignent la qualité des interventions de la MGEN, mais regrettent l’annulation d’une journée, et le changement de thème d’une autre. La journée annulée sera reportée en janvier, autour du futur projet d’école.
Les « faisant fonction » (28 collègues) ont 12 heures de formation. On demande s’il est possible de leur attribuer un tuteur.
Les nouveaux directeurs ont reçu le calendrier de la formation via PIA. Ils auront les documents par le même biais. Nathalie Hanquart fait remonter au Dasen la difficulté d’une formation groupée sur des semaines entières : nos collègues directeurs ont besoin d’être dans leur école, surtout en début d’année scolaire. M Pinel va voir pour que les formations se fassent soit en début de semaine, soit en fin de semaine, et en alternance (à la demande d’une organisation syndicale) pour que les directeurs ne perdent pas systématiquement leur jour de décharge.
Pour tous les directeurs, 2 jours de formation continue sont prévus par les textes. M Pinel annonce une semaine de la direction d’école en mai, avec des priorités de formation autour notamment du rôle pédagogique du directeur. Les directeurs de 2 et 3 classes devraient y participer. Le Dasen mettra des moyens de remplacement autant que possible.
Une directrice en charge d’une école sur plusieurs sites demande la possibilité d’avoir un temps de décharge supplémentaire. M Pinel répond qu’il faut réfléchir à la mise en œuvre d’une solution moins égalitaire, mais plus équitable. Il faut attendre la sortie des décrets après l’adoption de la loi Rilhac pour savoir si ce sera possible.
Fabien Joliat fait le point sur les L2, L3 et M1 qui sont en appui sur quelques écoles. Les directeurs tuteurs perçoivent 800 euros d’indemnité.
Les faits d’établissement de niveau 2 sont suivis par Fabien Joliat. Il appelle les collègues. On peut doubler les déclarations par une fiche RSTT.
Cette année, 187 écoles ont fait une demande pour 1 ou 2 jeunes en service civique. Au rectorat, il n’y a que 2 personnes qui gèrent le dossier ce qui explique que les contrats ne soient pas encore arrivés dans les écoles. Nathalie Hanquart demande que les contrats ne s’arrêtent pas avant la fin de l’année scolaire.
Une directrice soulève le problème des remplaçants qui communiquent sur un groupe Facebook ouvert. Les propos tenus peuvent mettre en difficulté des collègues absents pour maladie ou raison personnelle. Il faut privilégier les prises de contact directement avec l’école, ou en utilisant les messageries professionnelles.
1ère demande GEVASCO : les directeurs auraient besoin d’aide pour le compléter. Les référents et les psychologues, quand ils le peuvent, le font sur du temps personnel. Le Dasen envisage un GT sur le GEVASCO.
Mise en place de GT pour préparer le prochain groupe Blanchet sur les thèmes suivants :