Dans la nuit du 06 février, le séisme de magnitude 7,8 qui a frappé la Turquie et la Syrie a été suivi de nombreuses répliques tout aussi dévastatrices. Avec des dizaines de milliers de corps blessés ou sans vie, des familles décimées, des ruines à perte de vue, des écoles, des hôpitaux et d’autres installations vitales détruites, c’est le tremblement de terre le plus violent dans la région, encore pire que celui de 1999 qui avait fait 17 000 morts. Il a particulièrement affecté le sud de la Turquie et le nord-ouest de la Syrie, zone très vulnérable après une dizaine d’années de guerre ; les infrastructures y étaient déjà en mauvais état et une partie de la population déplacée était hébergée dans des conditions très précaires.
À l’heure où l’espoir de voir d’autres survivants sortir des décombres s’éteint, les priorités sont très concrètes : appui psychosocial pour les victimes et, en particulier, la mise en place d’une continuité éducative pour les enfants.
Un
appel à la générosité a été lancé à l’attention des organisations
membres pour regrouper les contributions pour ces deux pays. https://soutenir.solidarite-laique.org/b?cid=189&lang=fr_FR .